Démocratie en santé : quels pouvoir d’agir ?

L’association CRSA/CTS et France Assos Santé Nouvelle-Aquitaine, avec le soutien de l’Agence régionale de santé, organise le 4 décembre prochain la première journée régionale Démocratie en Santé.

Principalement réservée aux membres des CTS et de la CRSA, cette journée vise à revenir sur  le cadre constitutionnel selon lequel « La Nation garantit à tous…la protection de la santé » à partir duquel, la démocratie en santé est porteuse de trois droits essentiels : le droit de savoir, d’être informé, le droit aux débats, à la concertation et enfin le droit d’être écouté et entendu.

Ces droits se déclinent aussi bien dans un cadre individuel, celui du patient, de l’usager, que dans le cadre collectif de la population.

Tout le monde est ainsi impliqué dans l’exercice de ces droits, aussi bien en tant que citoyens, qu’usagers, que professionnels de santé, qu’élus, que pouvoirs publics, etc.

Réfléchir collectivement à la place de ces instances 

La question centrale est donc celle de l’utilité des instances de la démocratie en santé pour promouvoir l’effectivité de ces droits. Elle résonne à la fois chez les membres de ces instances et chez les « décideurs » et acteurs concernés par les travaux et les avis de ces instances. A quelles conditions peuvent-elles être utiles ?

Quels sont les critères à respecter par les instances de démocratie en santé mais aussi par les acteurs institutionnels pour une plus grande efficacité ? Comment impliquer les citoyens pour améliorer l’utilité de ces instances dans le cadre d’un meilleur service rendu à la population en matière de santé ?

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